L’année 2019 du Grdr a été marquée par un niveau d’activités particulièrement dense sur tous les territoires qu’il accompagne. L’ensemble des informations est disponible dans le document que vous pouvez télécharger ou ouvrir ici.
En résumé, nos activités étaient articulées autour de notre plan d’action quinquennal2019-2024 adopté par l’assemblée générale du Grdr.
Nos principaux axes d’action :
– 450 élus et « acteurs locaux  » ont bénéficié d’un accompagnement, renforcement de capacités, appui-conseils, pour les aider dans la prise de décision locale sur la gestion des ressources naturelles, les choix de développement économique local, l’entreprenariat et l’insertion professionnelle. – L’actualisation des plans d’action prioritaires de développement de Diembéring, Kalounayes, Diassing (au Sénégal) et Suzana, Birban et Canchungo (en Guinée-Bissau) – 600 producteurs de noix de cajou, 540 productrices d’huile de palme, 318 salicultrices et de 140 femmes maraîchères ont été formées et accompagnées sur la gestion des écosystèmes, l’amélioration de la productivité économique et agronomique et sur les circuits de commercialisation. – La mise en place d’un cadre de concertation transfrontalier entre les collectivités de Goudomp (Sénégal) et Farim (Guinée-Bissau) – La mise à jour du plan de développement local du département de Bakel qui prévoit d’intégrer un espace « Migration & développement  » – L’accompagnement du réseau des maires du bassin du fleuve Sénégal dont les cellules du Grdr participent aux différents comités techniques – L’accompagnement et la pérennisation de la coopération transfrontalière entre les intercommunalités du Karakoro (Mauritanie) et de l’ACGK (Mali) – Le cycle de formations « Migration & Développement  » entre les communes et les diasporas de Beni Khedache, Aïn Draham et Sbeïtla en Tunisie – La réalisation du plan d’aménagement de la circulation, des jardins publics et du souk de Mahrès (Tunisie) conformément au plan d’action prioritaire définit par la commune en lien avec sa diaspora – 4 formations en projets de co-développement auxquelles ont participés 160 personnes vivant en France et qui souhaitent porter des projets de développement dans leurs pays d’origine.
– Les prospectives territoriales en cours dans le Guidimakha (Mauritanie) – La réalisation de l’étude « plan climat énergie du Benkadi  » dans la région de Kayes au Mali – 465 producteurs locaux (52% de femmes) ont bénéficié de formations en agro écologie paysanne (itinéraires techniques, conservation et régénération des sols, utilisation d’engrais organiques, lutte contre les nuisibles etc.) à Bakel, Kayes, Sélibaby, Rufisque, Kaédi, Sélibaby et Nouakchott) – Le soutien et l’animation du réseau transfrontalier de préservation des semences paysannes dans le bassin du fleuve Sénégal – L’équipement d’un point de vente en agro écologie à Kayes en partenariat avec le réseau des horticulteurs de Kayes qui permet à 75 personnes d’écouler leur production. – L’équipement et l’organisation de la l’unité de transformation de produits du baobab (pain de singe à Kayes) au profit de près de 150 jeunes femmes – La filière habitat durable à base de matériaux locaux à Canchungo
– La mise en œuvre des actions prioritaires du plan alimentaire territorialisé de Rufisque (Sénégal) – L’étude sur le système alimentaire de la ville de Kayes. enquête sur la consommation des habitants de la ville de Kayes – L’étude sur la mise en place d’une cantine scolaire centrale dans la région de Rufisque – L’étude monographique de la ville de Canchungo – La rénovation de 95 maisons abritant 920 personnes en situation de précarité à Canchungo et d’un centre de ressources à partir de matériaux locaux – Le diagnostic sur les enjeux à la participation citoyenne dans la ville de Kayes – L’équipement d’espaces connectés à Yélimané, Nioro et Kayes et la mise en place de comités de gestions – La cartographie des organisations de femmes de la société civile en région de Kayes
– La mise en place de 3 Conseils communaux de la Jeunesse (CCJ) à Kaédi, Kiffa et Ryad (120 jeunes)- Dont 30 ont participé à un échange entre CCJ a pour but de s’inspirer des bonnes pratiques de chacun. Ces CCJ sont des espaces de dialogue entre les jeunes et la commune afin qu’ils puissent participer aux stratégies de développement communales. – Le répertoire qui recense plus de 60 associations de jeunes engagés dans des activités d’entreprenariats à Kiffa, Ryadh et Kaédi (Nouakchott). – Les activités « tremplin jeunes  » sur la transition agro écologie paysanne et la sensibilisation aux circuits courts qui ont permis de soutenir les initatives culturelles et artistiques de 1824 jeunes dont 1152 femmes. – L’accompagnement de 52 jeunes issus des quartiers considérés comme défavorisés dans leurs parcours d’insertion professionnelle (rédaction de CV, entrainement à l’entretien professionnel, travail sur la confiance en soi, aide à la recherche d’emplois…).
– L’accompagnement depuis 2017 de la filière « Cosm’éthique  » auprès de 238 femmes issues de la migration, porteuses de projets et l’appui à la maison de la « Cosm’éthique  » – L’accompagnement de 100 femmes du secteur informel issues de la migration dans le développement et la professionnalisation de leurs activités de cuisine – 180 personnes migrantes à¢gées ont été accompagnées dans leurs parcours d’accès aux droits et d’actions de prévention (santé). 51 personnes ont participé à une ou plusieurs des 7 sessions à l’utilisation des outils numériques – 90 femmes qui ont participées à des activités de structuration de leurs projets collectifs (la gestion associative et au montage de projet, appui à l’organisation d’évènementielle) à travers des clubs ’entreprendre au féminin’ des formations à – 314 personnes issues des migrations ayant bénéficiées des différents dispositifs (d’accompagnement ou de formation) mis en place par nos équipes en France (IDF et HdF) pour les aider à monter leurs projets de micro-entreprises.
– L’étude « La Seine Saint Denis dans le Monde, le Monde en Seine Saint-Denis  » – Une mallette à outils qui propose un ensemble d’outils d’animations sur les ODD et les migrations. Elle est destinée aux professeurs ou animateurs de centres sociaux qui souhaitent animer des sessions sur cette thématique – Le cycle de rencontre en France, en Espagne et en Italie qui a abouti à la création d’un réseau internationale de jeunes issus des migrations sur le sujet de l’éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale – Suivi de la réalisation des 16 prix J’M (Jeunesse et Migrations). – Une exposition itinérante « la Seine Saint Denis dans le Monde, le Monde en Seine Saint-Denis  » (20 panneaux). – 89 élèves ont participé à des animations dans les Hauts-de-France pour les sensibiliser sur les questions migratoires